Phuket-
Les autorités de Phuket enquêtent sur une violente altercation impliquant un groupe de touristes arabes et le propriétaire d'un magasin de location de motos local à Patong, à la suite d'un différend sur les frais de dommages.
L'incident, filmé et largement diffusé sur les réseaux sociaux, a suscité des inquiétudes quant au comportement des touristes et à son impact sur l'image de la Thaïlande à l'étranger.
La police de Patong a déclaré au Phuket Express que le soir du 10 août, vers 9 heures, un groupe de touristes arabes s'est rendu dans un magasin de location de motos situé dans Patong Center Alley, sur Phra Metta Road. Lors d'un essai, l'un des touristes a percuté une puissante Honda X-ADV 00 cm³, causant d'importants dégâts.
Le propriétaire du magasin a exigé une indemnisation de 50,000 1,400 bahts (environ 10,000 20,000 dollars américains), invoquant l'ampleur des dégâts. Cependant, les touristes auraient refusé de payer la totalité du montant, ne proposant que XNUMX XNUMX à XNUMX XNUMX bahts, prétextant l'absence de contrat de location officiel. Le désaccord a dégénéré en une violente dispute, qui a culminé en violences physiques lorsqu'un des touristes a appelé plusieurs amis à intervenir.
Les premiers rapports suggéraient une vingtaine d'individus impliqués, mais la police a confirmé que seuls six touristes avaient participé à l'agression. Quatre suspects ont été appréhendés, tandis que l'agresseur principal est toujours en fuite et se cacherait probablement dans le quartier de Bangla Road.
Tous les suspects sont accusés d'« agression collective », et les autorités ont temporairement bloqué leur départ de Thaïlande dans l'attente d'examens médicaux et d'une enquête plus approfondie. Il est intéressant de noter que les touristes ont également déposé une contre-plainte, alléguant avoir été agressés lors de l'altercation.
La famille du commerçant blessé a exprimé sa frustration face au déroulement de l'enquête, alléguant que certains policiers pourraient être biaisés en faveur des touristes. Elle affirme avoir été intimidée lors de l'identification et craint que justice ne soit rendue.




